L'association LOIRE SAUVAGE a choisi l’action et oeuvre, sur certains projets qui lui tiennent à coeur, à mener avec le soutien du plus grand nombre d’entre vous ses actions
*Nous n'héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants *
Antoine De Saint-Exupéry

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*Il ne faudrait jamais regarder couler la Loire, c’est une chose fatale. Après on ne sait plus faire que ça et le reste est sans importance. Elle dépose son sable dans nos veines, y grippe volonté, ambition, orgueil, tous les moteurs d’une virile agitation… *

Vous avez reconnu le texte d’Alix de Saint André, membre de la Loire Sauvage, et qui résume en un mot cette douceur angevine que nous ressentons tous, cette harmonie, cette lumière, celle de notre fleuve tant aimé.

« Vive la Loire sauvage ! » le duc d'Edimbourg en 1988

Le WWF en France

Le WWF sert de structure de coordination à l'ensemble des organisations écologistes pour leurs différentes actions contre les projets infrastructurels. Avec un budget annuel de 20 millions de francs, provenant essentiellement du mécénat d'entreprises, il mène une campagne assidue pour instaurer le « développement durable » dans tous les secteurs de la vie francaise. Par ce terme, le WWF entend surtout la « protection des milieux naturels », à laquelle il consacre 43% de son budget.
C'est ainsi que l'opération qui a permis de bloquer les programmes de l'EPALA (Etablissement public de l'aménagement de la Loire et de ses affluents) a été menée par une association, Loire vivante, dont l'essentiel du fonctionnement était assuré par le WWF. C'est en effet lui qui payait le salaire du permanent suisse de cette association, Roberto Epple. Cette opération a d'ailleurs réussi puisque, après moult retournements et tergiversations des gouvernements Rocard, Cresson et Bérégovoy, il était finalement décidé en janvier 1994 — donc par le gouvernement Balladur — d'abandonner deux projets de barrage, dont celui de Serre-de-la-Fare, le plus controversé des ouvrages proposés par l'EPALA.
En 1988, le duc d'Edimbourg (l'ancien Président du WWF (World Wildlife Fund) le Fond Mondial de la Vie Sauvage)se rendait même en personne au Bec d'Allier, l'observatoire installé par le WWF au confluent de la Loire et de l'Allier, et y lançait son « Vive la Loire sauvage ! »
 Se développait ensuite une campagne l'échelle européenne, dont le cri de ralliement était « Sauvons la Loire, dernier fleuve sauvage d'Europe ».
Les organisations écologistes des quatre coins de l'Europe rameutées par le WWF, venaient soutenir les opposants à l'aménagement de la Loire. Ceux qui ont tout perdu suite aux inondations apprécieront l'éloge ainsi consacré à la « sauvagerie » d'un fleuve qui a accompagné pendant plus de dix siècles l'histoire de France. Sauvagerie qui peut se résumer en deux chiffres : en plein été, le débit de la Loire peut descendre jusqu'à 50 m3/s (le quart de celui de la Seine au mois de juillet sous les ponts de Paris) ; lors d'une grande crue, ce même débit peut soudain s'élever jusqu'à 8 000 m3/s. La grande colère de la Loire de 1980 faisait ainsi 8 morts et plus de 500 millions de francs de dégâts.

source : http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-nature-mouvements-objectifs-05-wwf.htm

FLUX LOIRE SAUVAGE

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